Super balade à Autun à la découverte des endroits plus ou moins connus, magnifique découverte dans une des plus belles villes de Bourgogne.
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28 au départ |
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Pont de bois sur l'Acaron |
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Du côté de St Pantaléon |
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Le chalet bleu Maison 1900 remarquable par son toit en tuiles bleues vernissées et sa tourelle excentrique de style pagode. Situé sur un promontoire, le Chalet Bleu est visible de loin. A l'abandon après avoir été utilisé comme mairie-école, le Chalet Bleu est désormais une propriété privée. |
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Quelle tendresse dans le regard des ces 2 copines |
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ACCUEIL DE NUIT DE AUTUN est un service social classifié Autre centre d'accueil. ACCUEIL DENUIT DE AUTUN est un établissement de la ville de AUTUN ... |
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Passerelle au dessus de l'Arroux direction les Chaumottes |
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Vue sur les pyramides d'Autun |
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l'Arroux |
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L'hostellerie Du Vieux Moulin.( fermé actuellement) |
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Le Ternin |
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Passerelle sur le Ternin |
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Vers la confluence Ternin Arroux |
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Sculpture sur arbre à La Genetoye |
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Le temple de Janus malgré son nom n’a sans doute jamais été lié à Janus. Cette affirmation vient d’une interprétation erronée du nom du lieu-dit où se trouve le temple : la Genetoye, c’est à dire un lieu où l’on trouve des genêts. La divinité associée à ce temple est à ce jour inconnue. L’édifice était un fanum, type de temple très répandu en Gaule romaine, et celui dit de Janus à Autun est l’un des meilleurs exemples conservés en France [avec la Tour de Vésone à Périgueux]. Le fanum est un temple composé d’une cella, qui correspond à l’espace sacré, ainsi que d’une galerie ou portique qui en fait le tour et qui servait apparemment de déambulatoire.
De nos jours, seule la cella du temple dit de Janus est préservée ; il s’agit du lieu où se trouvait la statue du dieu et où n’entraient que les prêtres. La cella date certainement du Ier siècle ap. J.-C, datation déduite de la technique architecturale employée dite en « petit appareil ». Elle a une hauteur de 24 mètres et était certainement close au dessus par un toit qui laisse imaginer une taille encore plus grande. Le bâtiment était à peu près de forme carrée, les murs mesurant environ 16 à 17 mètres chacun. L’entrée se trouvait sans doute sur un des murs manquants, ce qui semble indiquer que le temple était orienté de l’est vers l’ouest. Le mur d’enceinte du sanctuaire suivait certainement le contour de la parcelle entre la route et les prés alentour. Les dames devant sont certifiées d'époque
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Quartier St Andoche |
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Sentier le long de l'Arroux à St Andoche |
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Maison entre les remparts et l'Arroux |
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Porte d'Arroux vue de profil |
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La porte d'Arroux
La porte d'Arroux fait partie des remparts romains de la ville. Elle est située à la sortie Est de la ville, sur l'ancien Cardo Maximus et la sortie Nord de la via Agrippa allant vers Saulieu et Auxerre et de la route vers Bourges.
La porte comprend, en partie inférieure, deux baies centrales permettant la circulation des véhicules encadrées de deux passages pour les piétons. Cet ensemble est surmontée dune galerie qui était composée de dix arcades (aujourd'hui il en reste 7) cantonnées par des pilastres cannelés. La galerie est couronnée par un entablement à corniche. La porte était protégée par deux tours semi-circulaires qui ont disparu.
La galerie supérieure de la porte inspirera les architectes construisant des bâtiments pour l'ordre de Cluny.
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La caserne Changarnier, cernée par les vieux remparts romains à l'ouest, et la ligne de chemin de fer à l'est, a été construite entre le quartier St-Jean et le Faubourg d'Arroux en 1875, sous la direction du général Ducros, alors commandant en chef du 8e corps d'armée.
On a adopté pour cette construction le système Tollet, sur un vaste terrain laissé jusque là à l'abandon. On édifia 26 baraquements, une dizaine de dépendances, pour le stockage du matériel, les cuisines et le réfectoire.
Cette caserne a reçu le nom de Changarnier sous le ministère du général Boulanger.
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Dany la randonneuse,coiffeuse et photographe |
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Quand on en a marre de marcher on fait du stop ! |
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Petite ruelle vers Marchaux |
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Quartier Marchaux avec ses belles maisons du moyen âge et sa tour de l'horloge |
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Maison du quartier en pleine démolition |
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Les remparts d'Autun
L’enceinte de la ville
Le droit de construire des fortifications était un privilège assez rare et demandait une autorisation de l’empereur. Que la ville d’Augustodunum ait reçu ce privilège témoigne de son importance au sein du monde gallo-romain. La ville est bâtie sur un plateau légèrement en pente et entourée par l’Arroux au nord et deux de ses affluents l’Acaron à l’est et le Riveau (enfoui) à l’ouest, ce qui explique le tracé de la muraille en losange. La régularité de l’enceinte laisse penser que l’ensemble des fortifications fut bâti dans un même temps, de plus celle-ci est bâtie non sur les hauteurs ou au pied du plateau mais à mi-pente ce qui a permis des terrassements afin d’offrir un terrain suffisamment plat pour les îlots de construction. L’enceinte d’Augustodunum ferait donc partie du plan initial de la cité éduenne.
L’enceinte mesure environ 6 kilomètres de long et est l’une des mieux conservées de toute la Gaule puisque son tracé existe encore pour plus des deux tiers. Les murs ont une épaisseur homogène d’environ 2,50 mètres ce qui leur a permis de jouer le rôle de murs de soutènement. Une étude de 2007 a montré l’existence de 48 tronçons de courtines (en gros des murs) et encore 30 tours dont le nombre d’origine est estimé à 57, la régularité du tracé et de la construction permettant cette estimation. On pense que les murailles ont été terminées à l’époque de Tibère. Pour la pointe méridionale de l’enceinte au niveau de la tour des Ursulines, semble être une extension plus tardive, sans doute du IIIe siècle, mais sans certitude.
L’enceinte était percée de quatre portes suivant le plan traditionnel de la ville romaine : la porte d’Arroux au nord et la porte de Rome au sud (cette dernière a disparu) qui délimitaient le cardo le long de la Via Agrippa, et la porte Saint-André à l’est et la porte Saint-Andoche à l’ouest (dont ne subsiste qu’une tour) à l’extrémité de deux decumani qui provenaient du cœur de la cité. Il y eut peut-être des accès secondaires comme la porte du Breuil mais sans certitude.
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La rue Cocand et ses merveilles |
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Quartier de la cathédrale |
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Le tympan de la cathédrale .Il est le plus souvent attribué au sculpteur Gislebertus, dont le nom apparaît gravé sous la mandorle entourant le Christ, mais il se pourrait, comme le pense Linda Seidel, que l'incise « gislebertus hoc fecit » (Gislebertus a fait cela) ne soit que le témoignage d’un commanditaire ou d’une personnalité locale impliquée dans la mise en œuvre de l’édifice. Selon Pierre Alain Mariaux, professeur ordinaire d’Histoire de l’art du Moyen Âge et de Muséologie, cette hypothèse est plausible, en y apportant cependant quelques nuances. Il n’exclut pas que Gislebertus soit bien le nom du sculpteur. Toute cette histoire n’a pas beaucoup d’importance devant la réalisation de ce chef d’œuvre, et de l’admiration que l’on peut porter à l’artiste, qu’il s’appelle Gislebertus ou Marcel.
Le tympan est consacré au Jugement dernier. Les interprétations qui en sont faite généralement font état de la dualité paradis/enfer, avec un jugement (passant par la balance de saint Michel) qui condamne les mauvais qui vont directement chez le Diable, alors que les élus sont amenés par saint Pierre aux portes du paradis.
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Gargote pas très pudique ! |
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Un ange veille sur le quartier et sur les antennes télé |
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Porte de Breuil |
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Au loin le pierre de Couhard |
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Résidence Ste Anne |
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Maison du faubourg St Pancrace |
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Retour au lac |
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Petits bourricots gris |
Prochaine randonnée le mercredi 20 février, du côté du Mont Dône
Rendez vous à 13h30 sur le parking de la Boutrille gare de Millay, face au restaurant " L'école Buissonière"
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