17 au départ du jour, et le soleil est de la partie ! |
+ 1 un petit peu à la bourre ! |
Nostalgie , L'ancienne maison de Jennie "vers les bois" |
La petite barrière du jour ... |
Un vieil âne, même plus le force de nous saluer |
Canards d'Inde émigrés en Morvan |
Merveilleux chemin, s'il pouvait raconter ! |
Comment dame nature peut supporter celà ! |
Le hameau de Glenne |
Petit étang avec sa petite barque |
Comme c'est beau ! |
Le hameau ensoleillé du Crot au Meunier |
Arrivée sur le GR du tour du Morvan |
Petite ascension du jour 100 m de dénivelé sur 1 km |
Mais, comme elles paraissent heureuses |
Et de l'eau un peu partout ! |
Mais qu'est-ce quelle a cette fille là ! |
Deux chemins, donc un de trop ! |
Un clin d’œil du soleil |
Au fond, l'église de Verrière |
La ferme Des Duchesnes |
Autrefois : Verrières-sous-Glaine, (Vitriaria villa, Vitriarix, Verrerix, Ecclesiam Verreria), cette paroisse qui dépendait de l'archiprêtré d'Autun, avant la Révolution, remonte au moins au ixe siècle. Charles-le-Chauve, à la prière de Boson, maire du palais, la donna en 877, à la ville de Verrières. Au temps de la féodalité, le village de Verrières était le siège d'une puissante châtellenie, dont le ressort s'étendait, sur toute la paroisse et sur celles de Saint-Léger-sous-Beuvray, de Saint-Prix, de Glux, de La Comelle, d'Etang, de Laisy, pour les parties situées en deçà de l'Arroux. Haute, moyenne et basse justice s'exerçait au chef-lieu par un châtelain, un procureur du roi, ou un greffier, jugeant sur toutes sortes de causes, même de mutilations ou de mort, sauf appel. Personne à l'exception des vassaux, qui en avaient reçu pouvoir et permission ne pouvait chasser dans les forêts du seigneur, sous peine de se voir affliger une amende arbitraire. De même pour la pêche. Il lui était dû un péage sur les chemins à Leschenault, à la Croix-de-Rebourg, à Montchaumey, aux Chaizes, à Verrières, à Saint-Léger-sous-Beuvray, à La Comelle, ainsi qu'à La Fontaine-de-la-Mer, ou Chazelles ; des droits sur les animaux amenés aux deux foires de Verrières et celle de Saint-Léger ; le droit d'indire dans les quatre cas ordinaires, de banvin pendant le mois d'août. Interdiction était faite aux justiciables de s'assembler au son de la cloche et de jeter des impôts sur eux-mêmes, sans la permission du seigneur sous peine d'amende arbitraire, tout comme de tuer, abattre aucune bête pour la boucherie, sans qu'elle fût visitée au préalable, par les officiers du seigneur ; la langue lui était due, à peine de 65 sous pour les contrevenants. Le château de cette antique seigneurie occupait la pointe des rochers qui s'élèvent à l'ouest de Verrières.
En 1328, Guillaume de Montholon, fait aveu et dénombrement à l'abbé de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, pour différentes possessions à Sommant, Verrières, Reclesne et Tavernay.
|
Dédiée à saint Martin, cette chapelle était autrefois la propriété de l'archiprêtré d'Autun et fut remise à l'abbé Badillon, de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun, à la demande de Boson, maire du palais, par Charles-le-Chauve, en 877. Acte confirmé par le roi Raoul, en 924 et par la bulle du pape Alexandre III, réfugié en France en avril 1164 : « Ecclesiam Verreria. »5 Elle est aujourd'hui église paroissiale. Le , Anselle de Pommare, ou Anselin de Pomard, évêque d'Autun donne la collation de la cure au chapitre de sa cathédrale en augmentation des distributions qui se faisaient pour l'assistance au chœur.
L'église, romane, entourée du cimetière, est un édifice de deux époques, assez quelconque. La nef à un clocher à tour carrée, bâtie sur le portail de l'ouest sont du xiie siècle, le chœur fut reconstruit au xve siècle, est flanqué de deux petites chapelles, dont l'une fut élevée en 1584, par Jean de Chaulmoy, notaire et tabellion royal, auquel le curé Pierre Bailly et les paroissiens permirent : de rompre et pertuiser la muraille du chanseault, du côté de la maison de Jehan Garnier, notaire et praticien d'Autun, pour en former, l'ouverture. Le pieux notaire y fonda en même temps, le vendredi de chaque semaine, sans pouvoir changer le jour, une messe perpétuelle, au moyen d'une rente de deux écus, payable à la Saint-Jean-Baptiste et l'autre à Noël. L'autre au sud, fut bâtie par la famille de Lagoutte. Sur la paroi du mur septentrional du chœur, on lisait une inscription en caractères gothique rappelant une fondation.
Il existait à la Grande-Verrière, un droit singulier, connu sous le nom de dîme de la marguillerie, que Sébastien de Lagoutte et Jeanne de Chevigny, son épouse, affermèrent, comme leur appartenant de temps immémorial, en 1708 à Jean Quinton, laboureur à Chemardin, pour une durée d'un an, moyennant, vingt-neuf mesures de seigle, à la mesure de Glaine, c'est-à-dire quarante-deux livres, rendues en leur maison de Verrières à la Saint-Martin. Cette église trop petite fut démolie et remplacée au même endroit, par une autre plus grande de style néo-gothique, en 1866-1868. Elle fut consacrée le . Le , eut lieu l'inauguration du nouveau clocher En face un vieux et beau calvaire en granit, sûrement celui de l'ancien cimetière qui entourait l'ancienne l'église.
Dans le cimetière qui entourait l'église, se trouvait une tombe sculptée en demi-relief,du xiiie siècle représentant un personnage qui était connu sous le nom de le Golmis,(de Gorris)? et que l'on disait provenir de la chapelle de Glenne.
|
Hotel de la poste "chez Cécile" |
Chateau de la famille Delagoutte |
Je crois que là, Raymonde à poussé une petite chansonnette, c'est l'histoire des Tamalous, mais c'est pas pour nous ... |
Prochaine randonnée le 8 janvier 2020. Rendez vous sur la place au fond du lotissement du Petit Mérot à Laizy.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire