Intéressante randonnée à Autun pour découvrir des petits coins pas forcément connu de tous
C'est parti et avec le sourire SVP !
Allée Marcel Pèpe ( sculpteur Autunois du milieu du 20ème siècle Le musée Rolin d'Autun possède certaines de ses œuvres.), qui relie Pont L'évêque à St Pantaléon
Église et mairie annexe de St Pantaléon
Le prieuré de St Pantaléon
Ligne de chemin de fer Autun Cravan, fermée aux voyageurs depuis 2011
Passerelle sur l'Arroux, faut pas être trop large !
L'Arroux avec au fond les pyramides d'Autun
Direction Les Chaumottes
ça c'est fleuri !
Chemin Jeanne Barret, grande voyageuse née à La Comelle
Le vieux Moulin avec son hostellerie
Toute la bande du jour sur la passerelle du Ternin
Le Ternin
C'est quoi le hlm en face?
A la poursuite de son ombre, c'est qui ?
Le temple de Janus, et on continue à chercher et en plus on trouve ! Ce temple s'inscrit au sein d'un vaste sanctuaire dont les fouilles, en
cours en 2015, dévoilent l'étendue et la complexité, dans un secteur
dont l'occupation remonte au Néolithique et qui a connu une phase importante de constructions monumentales au Ier siècle de notre ère ; il a été abandonné au tout-début du haut Moyen Âge, mais ses structures ont été réutilisées pour la confection d'un ouvrage défensif médiéval. Sont conservés deux pans de sa cella carrée sur une hauteur de plus de 20 mètres ainsi que des vestiges des fondations de son péribole
et de ses constructions annexes. La dédicace du temple à la divinité
romaine Janus ne repose sur aucun fait archéologique ou historique et la
divinité vénérée dans ce temple est inconnue.
Le pont de St Andoche
La promenade Albert Montmerot, qui relie St Andoche à la porte d'Arroux entre rivière et rempart . Albert Lazare Martien Montmerot est un peintre paysagiste français du Morvan, né le à Autun et décédé de la tuberculose à Couches le . Né
à Autun le 22 décembre 1902 au 22 rue de l'Arbalette (une plaque
commémorative est posée sur la maison) d'une famille douée pour les
travaux manuels (menuisiers), il se révèle brillant élève mais laisse
les études et commence à peindre en 1919, avec Louis Charlot comme ami et mentor. En 1927, il monte à Paris où il fréquente Montparnasse. En 1932,
il se retire définitivement à Autun et mène une vie bohème, peignant à
tout va nus, paysages et portraits dont il abreuve les cafés,
hôtels-restaurants locaux qui sont ses lieux de perdition favoris, ainsi
que la maison de tolérance (rue Changarnier).Quand cette dernière fut
rasée, bien après sa mort, les toiles furent détruites ou perdues, on
peut en voir dans la revue "Bourgogne" n°36 (15 janvier- 15 mars 2001)
dans l'article d'Alain Baudin "Autun au temps du claque". La guerre et son cortège de disettes le rejoignent, affaibli par une
vie peu sage, la tuberculose l'emporte au sanatorium de Mardor
(Couches). Il repose à Autun, où une promenade porte son nom. Il est au salon d'automne en 1923 et 1926, au Salon des indépendants 1921, 1922 et 1924. En 1930, il expose à Buenos Aires avec d'autres artistes français. Après 1932, il se cantonnera dans sa Bourgogne natale, où il exposera avec Dijon comme lieu le plus important. Le musée Rolin d'Autun possède certaines de ses œuvres.
La porte d'Arroux
Lycée militaire, ancienne caserne
La gare d'Autun, un peu sinistrée côté trafic
Belle maison rue Marchaux
Quartier Marchaux au moyen âge, photo prise à cette époque par Dany Genaud
Quartier Marchaux aujourd'hui, même photographe ......
Ancienne caisse d'épargne et ancien bains douches
Ancienne poste d'Autun
Petite montée le long des remparts
Le quartier de la cathédrale, que des merveilles
La gargouille fait caca, stationnement interdit
Qui a vu le petit ange qui veille sur le quartier ?
Rue et porte de Breuil
Autun d'antan côté Est
Magnifique toit de l'école militaire
Retour au lac
Y'en a un qu'a 27 ans demain, ça s'arrose, tant pis pour les calories.
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